Comment rendre compte de faits observés, en évitant, autant que possible, que leur restitution soit entravée par la subjectivité de l’observateur·trice et par la variabilité des actions relevées ?
La formation tend à initier et entraîner à la prise de conscience des biais et écueils qui jalonnent l’acte d’observer, à distinguer observation, inférence et interprétation, à prendre connaissance et à utiliser des outils, en vue de réduire les difficultés inhérentes à l’observation de groupes ; parmi ces outils, des grilles d’observation sont mises en application.
Ce sont là autant d’atouts, de compétences ajoutées tant à la capacité de participation à une activité ou à un travail en groupe, qu’à la capacité d’animation d’un groupe.