Une réflexion sur une des formes discrètes de l’assujettissement des individus (et plus particulièrement des travailleurs) : la cadence.
Explorant les enjeux de l’accélération du rythme, il s’agit de comprendre la souffrance au travail, mais aussi de diagnostiquer dans la maîtrise du temps un effet de domination qui pourrait passer inaperçu.
Dans un tel règne de la vitesse, où peut encore se nicher la résistance ? Dans la volonté individuelle de ralentir, de se soustraire à la cadence pour donner à son activité et à sa vie un rythme propre ?